Le garçon gentil ne gagne jamais?

« Et alors ? »

Nous sommes toutes pendues aux lèvres de T, un collègue de boulot. Monsieur est parti plus tôt hier parce qu’il avait un rendez-vous galant. J’ai le choix entre taper un papier sur les travaux municipaux ou suivre mon feuilleton de l’été à savoir « mais quand T trouvera l’heureuse élue ?». C’est tout décidé..

« Ca c’est bien passé. J’ai joué la carte du connard », nous avoue-t-il avec un sourire.

Nous nous échangeons toutes un regard surpris avant de lui balancer en cœur :« Du quoi ? »

« Bah oui.. du connard..sinon ça ne marche pas avec vous les filles. Vous pourrez dire tout ce que vous voulez, vous n’aimez pas les mecs gentils. C’est prouvé. Ce qui vous fait vibrer c’est les gros cons qui vous maltraitent. »

Je me retourne vers mon pc. Je voyais T comme une petite chose sensible qui ne ferait jamais de mal à qui que ce soit et surtout pas à une donzelle qui lui aurait tapé dans l’œil. Mais voyez-vous T a une théorie selon laquelle pour plaire à une fille il faut être l’archétype même du gros con.  D’après lui, les garçons gentils n’y arrivent jamais. Ou cas A: les filles sortent avec eux pour les laisser tomber deux semaines plus tard pour le connard du village. Les excuses sont alors « ce n’est pas toi mais moi » ou « je ne suis pas prête pour quelque chose de sérieux en ce moment ». Ou bien cas B: le garçon gentil devient le meilleur ami. Le confident qui ne sera jamais plus et qui souffrira de voir la fille qui lui plaît sortir avec le premier enfoiré affectif venu. Dans le cas A comme dans le cas B, le mec gentil ne gagne jamais. Alors la solution pour T est de devenir ce gros con qui intéresse tant aux femmes..

Cette théorie me paraît rude..mais loin d’être idiote. Combien de fois je suis sortie d’une relation avec le sentiment de m’être fait avoir sur toute la ligne ? Combien d’histoires m’ont cassée en mille morceaux ? Dans la dernière j‘étais avec le dernier des nuls mais j’y retournais toujours comme une drogue. J’aimais mon bourreau..Et pourtant il y avait ce type beau et adorable qui me faisait la cour et qui aurait tout donné pour prendre la place de mon abrutis de copain de l’époque. Qui m’aurait cajolée et traitée comme une reine… Mais vous savez quoi ? Je le trouvais..trop gentil.

Du coup.. je ne peux pas dire que la théorie de T est complètement fausse. Et puis regardez Blondie. Niveau gros con, on fait pas mieux..Il n’empêche que quand je l’ai face à moi, je n’y peux rien, je me comporte comme une parfaite idiote. Je devrais juste le snober et me dire qu’il n’a aucune importance mais c’est plus fort que moi. J’aime qu’il me cherche. Qu’il m’appelle « beauté ». Le charrier. Même s’il n’y aura jamais rien de plus.  Le gros connard aurait un charme que le mec gentil n’a pas : celui d’être inaccessible.

Et pourtant aujourd’hui je suis dans une relation saine, avec « un mec gentil » et je suis très heureuse. Peut-être qu’au bout d’un moment on se rend compte qu’il est temps d’arrêter de se faire maltraiter? Remarquez.. j’ai bien douillé avant de pouvoir être avec mon homme vu qu’il était avec une autre fille quand je l’ai rencontré. Mais ça, c’est une autre histoire..(que je vous raconterais peut-être un jour si vous êtes sages).

Et vous que pensez vous de la théorie de T?

36 réflexions au sujet de « Le garçon gentil ne gagne jamais? »

    • Hum.. ce qui est étrange puisqu’on se gave de films guimauves en espérant être à la place de l’héroïne..les filles ne sont pas un peu contradictoires?

      • Je pense que le terme « gentil » n’est pas le bon, on l’utilise pour résumer une pensée rapidement. Un gentil peut avoir du caractère et être excitant car il a une vision, une « grille de lecture » de la vie, il est sûr de soi, etc
        Ce qui est sous entendu avec gentil serait plutôt … Mou, prévisible … Et sexuellement, c’est pas excitant 😀
        Le gentil n’a pas de personnalité aussi … Puisqu’il se conforme à ce que souhaite sa dulcinée. J’imagine que c’est surtout ça.
        Je dirais aussi que le problème existe pour les hommes. Mais plus tard.
        Au début, une gentille qui se donne, qui ne nous réponds pas, nous adule … On adore. Puis on se lasse. Enfin on la quitte (ou plus souvent) on la trompe avec la tigresse, l’imprévisible, l’excitante 🙂
        Mêmes problématiques pour les 2 sexes mais pas au même moment ^^

      • Ben si, mais ca, c’est parce qu’on est des filles !!! HEIN HEIN HEIN.
        Bon, t’as qu’à me l’envoyer, j’ai besoin d’un mec gentil qui passe pour un gros connard pour faire la grosse connasse als que je suis une fille gentille.. (et sinon c’est absolument pas tordu par les cheveux ^^)

      • Pas du tout.. tu ferais quoi dans un rendez vous en tant que grosse connasse (oouuuhh ça pourrait te faire un post ça …)?

  1. Ça prend un juste milieu moi je dit…Perso j’ai eu la chance de trouver le milieu lol mais c’est drôle que tu parle de ça justement pcq en ce moment avec un ami  »virtuel » on est dans cet esprit là, on lui cherche une copine le pauvre, il est dans le clan des gentils et justement toutes les filles le laissent tombé pour le connard de service…Moi je doit pas être normal, j’aime mieux les gentils garçon en fait, comme j’ai dis à mon ami  »Si j’étais pas déjà marié je t’aurais volontiers épousé » mais comble du malheur pour lui je suis marié et j’aime encore mon mari plus que tout lol

    • Bah non.. je pense que tu es la moins cinglée de nous toutes! C’est un peu bête de se mettre dans des histoires où on sait pertinemment qu’on va souffrir mais ça semble plus fort que nous. « Je l’aime et je le déteste »..un peu maso les filles! Je souhaite beaucoup de courage à ton ami. Mais j’y crois il va trouver! Moi je vote homme gentil de toute façon.

  2. Dans la relation avec un connard, il y a une part de défi : celui de le changer, l’améliorer, peut-être même le façonner.
    Avec un gentil, ce piment du défi n’existe pas. Du coup, on craint de s’ennuyer avec lui…

    C’était ma théorie du soir. d:-)

  3. Baaaah…il a pas tort. Mais moi les gentils sur lesquels je suis tombée, je les ai virés car carrément cruches les gars…maintenant le dernier gars que j’ai aimé à la folie est le roi des connards…
    Le gentil n’excite pas beaucoup c’est vrai.
    Je cherche un gentil qui n’aurait pas peur de me draguer en fait ou m’approcher. Et puis les gentils que j’ai connu était pas super top physiquement. Je fais pas avancer tout ça je le sens ^^

    • Laul bah tu es en réflexion disons.. C’est vrai que les gentils sont parfois timides aussi..du coup.. il y a pas d’adrénaline…en mode « va t-il me prendre contre un mur? » ahem.. pardon. Après tous les gentils ne sont pas cruches, non mais! Heureusement. Et pour ce qui est de « j’ai aimé à la folie le roi des connards ». Bienvenue au club.. tu veux une carte de membre plastifiée?

  4. Mais qui est Blondie ???

    Sinon, je suis d’accord avec sa théorie, mais pas avec le fait qu’il joue un personnage devant la fille, bah oui, un con soit on l’est, soit on l’est pas !

    Sinon c’est vrai que moi non plus je n’aime pas les mecs trop gentils, je les trouve mous, ennuyeux, la vie n’est pas palpitante et passionnante avec eux. Quand on a besoin de passion, d’aventures, de risques et d’adrénaline, ben ça le fait pas !

    De toute façon chacune son caractère et ses préférences, mais moi un mec gentil, tout douillet, qui serait tout le temps très gentil avec moi et tout, une chose est sûre, je ne le désirerai pas, sauf s’il est vraiment trop trop hot !

    C’est bon, j’arrête les dégâts ! 😀

    • Blondie c’est un comédien gros con. Je l’ai connu, il me faisait la cour alors que ça faisait 7 ans qu’il était avec sa copine..(qu’il trompait partout). Je me suis jamais mise avec par fierté et aussi parce que s’il avait réussi à m’avoir j’aurais perdu tout intérêt. Du coup il continue à me dragouiller.
      Je pense qu’avec le temps il a du devenir un gros con avec les filles. En mode « j’en ai marre de me faire avoir ».
      Après je suis d’accord avec toi, il faut un peu de passion dans un couple, de jeu, d’adrénaline. Mais le gentil peut nous les amener je suis sûre.

  5. Mouhahhahahahhaha. On a eu cette conversation avec une copine il y a peu !
    Elle me parlait de son copain (avec qui elle est depuis presque 3 ans) en me disant que collégien/lycéen il était hyper frustré parce-qu’il était le Gentil, donc le Pote, donc jamais le Mec intéressant, tout ça parce-que c’était pas un gros connard de base.
    C’est à ce moment là que Chéri est intervenu pour dire que lui c’était pareil et que donc entre 12 et 20 ans (minimum) les filles n’aiment que les connards, et que lui il se retrouvait à l’époque à consoler des nanas avec qui il aurait voulu sortir et qui lui disait des trucs du genre « ouais nan mais c’est un salop, je devrais le quitter, mais je l’èèèèèèèèèèèèèèèème ».
    Et à la réflexion, je me suis tapée des connards un certain temps…

    Vient donc la conclusion : on aime les connards, mais on finit par se soigner ! Et un jour le gentil devient l’homme à attraper !

    • Ouais.. et généralement les filles qui les ont chopés les laisse plus partir après les gentils (c’est une espèce rare ..alors que les connards se multiplient à une vitesse…)

  6. Je suis plutôt d’accord avec sa théorie.
    La plupart des mecs avec qui je suis sortie sont des connards finis mais je me suis toujours attachée à eux comme pas possible.
    La seule fois où je suis sortie avec un pas_connard, bah c’tait la plus belle histoire mais au final je m’ennuyais et je me suis vite lassée de lui malheureusement pour retomber amoureuse d’un autre connard :p

  7. que c’est la même du côté des filles: les hommes ne sont pas intéressés par la fille gentille, ils veulent une chieuse qui leur en fera voir de toutes les couleurs.

  8. Je vais parler par expérience (et aussi parce que je suis un homme).
    J’ai longtemps été considéré comme un « mec gentil ». Je sortais quand même avec des filles, mais soit cela capotait rapidement, soit au final j’étais pas amoureux.

    Je m’étais aperçu de ce problème y’a fort longtemps: « Plus on est gentil, moins la fille reste ». J’avais aussi remarqué que dans mes relations les plus stables, j’étais passablement un peu méchant. Pas forcément méchant au point de faire du mal, mais méchant dans le sens où je pouvais me permettre d’envoyer chier ma copine sans une once de remord.

    Un jour, alors que je dragouillais une fille, je m’étais positionné en tant que gentil (et surtout que j’avais pas de raison d’être un sombre connard); Résultat après 2 RDVs « groupes » (dans le sens, nous sommes plusieurs ami(e)s dans la même soirée), elles sortaient en cachette avec un pote – lui un sombre connard – qui se privait pas de l’envoyer chier ou de ne pas répondre à ses SMS (ca fait mal quand vous êtes avec ce pote et que temps à autres, il recevait des SMS de cette fille et qu’il disait « roh la la ! encore elle… fiuuuu… bon, j’y vais ou pas ? »…)

    J’étais resté consterné par ce que je constatais: Est-ce donc vrai ? est-ce ma théorie était exacte ?

    Quelques semaines plus tard, je sais plus pourquoi, elle m’avait fait un petit coup de pute; Rien de bien méchant, mais y’a eu une sorte de déclic, une sorte de séparation émotionnelle avec elle.

    Lorsque je l’ai recroisé à une soirée, je lui ai pas adressé la parole de la soirée (sentiments un peu partagé: c’était à la fois un début de haine et aussi une sorte de lacher-prise: plus envie de lui plaire, je passe à autre chose.); Pourtant, durant cette soirée, elle revenait sans cesse; je me privais pas de lui dire que j’étais déjà en conversation avec quelqu’un d’autre, qu’on se verrait plus tard, etc… En bref, je l’envoyais ouvertement sur les roses.

    En fin de soirée, je dis au revoir à mes amis et la snob un peu; De là, elle sort du bar et me dit « hey.. et bah moi alors ? », je lui ai tendu la main en guise d’au-revoir (me demandez pas comment cela m’est venu à l’esprit). Je sais qu’elle l’avait très mal prise.

    Alors qu’elle m’avait jamais appelé ni envoyé de SMS par elle-même (généralement c’était des réponses à mes propres messages), j’ai été étonné que – quelque jours plus tard – elle m’invita à une soirée; J’accepta, mais par principe, j’avais prévu de pas lui adresser la parole ou très peu;

    La fameuse soirée arriva, bien entendu madame (et son amie) étaient en retard; Décidé à ne pas être le « con qui attend »; j’ai commencé à discuter avec un groupe de gens dans le bar (que je connaissais pas); Mon but était que si elles arrivaient, que je sois déjà occupé. Mission réussi, le groupe grandissant, je connaissais finalement pratiquement une 30ène ou une 40ène de personne de la soirée, je discutais avec les mecs, les filles, etc…

    Lorsqu’elles sont arrivées, elles étaient étonnés. Madame me demandait si c’était mes amis. L’étonnement se voyait sur son visage quand je lui ai répondu à la négative; Puis je suis retourné discuter avec une autre fille; les laissant seules sur un morceau de canapé.

    Durant toute la soirée, elles n’ont pas arrêté de vouloir attirer mon attention; Hurlant dans la foule mon prénom, m’envoyant des textos (alors qu’elles étaient à 5m à peine); Changement radical, alors qu’avant, elle me snobait en soirée. La copine de madame m’a ouvertement dragouillé; Sur le coup, je l’ai mis dans le même sac, j’ai voulu voir où son manège, je lui demandais de se déplacer un peu si elle voulait discuter avec moi; Elle refusa prétextant que je devais venir moi… pour qu’on discute…; J’ai prétexté un mal de pied. (pour l’anecdote, car je ne l’ai su qu’après, la copine était maqué…)

    Puis, au court de la soirée, je me suis barré avec 5 ou 6 des mecs du groupe, voulant aller dans un autre bar; En laissant, bien entendu, madame et sa copine seules là-bas. 1h plus tard, elle m’appela : elle voulait dormir chez moi…

    Jouer au connard marche. Au début, j’ai cru que c’était une légende urbaine. J’ai vu le changement de comportement de cette fille. J’ai vu le changement de comportement d’autres filles.

    Mais attention, jouer le connard n’est pas un tout. Je pense qu’il faut avoir de l’assurance et de l’aplomb, c’est surtout cela qui attire ; « Teaser » aussi la fille en question; ne pas trop lui en dire; Le fait d’être un connard est une résultante à ces paramètres: elle découle d’un principe très simple du « je-m’en-foutiste »; très plaisant – de mon point de vue – pour les femmes..

    A l’époque, j’avais décidé de restesté le coup quelques temps après (c’est mon côté « chercheur de l’extrême »), j’avais eu rdv avec une copine d’un ami qui passait sur Paris; J’avais décidé d’être le plus sombre connard possible; Au début, cela débutait par des taquineries (plutôt vachardes); puis, au bout d’un moment, las de ses dernières un peu prévisibles, je lui balança une phrase assez percutante (que je ne peux malheureusement pas reproduire ici car tellement précise que cela dévoilerait mon identité [secrète! 😉 ] mais je peux vous assurer que sur l’instant, elle était en droit de me jeter son verre à la figure (et je crois même que cela lui est passé par la tête 1/4 de seconde). Mais dire une méchanceté avec le sourire, passe mieux je trouve, n’est-ce-pas ? 😀

    Au final, elle a avalé la couleuvre et a juste dit « touché.. » sur une petite pointe d’ironie. A partir de se moment là, je l’ai senti très très « open ». Je serais pas comment le décrire, une sorte d’ouverture psychologique, ou la personne passe de l’état « j’ai un mur » à « Who’s my daddy ? » (je sais pas si je suis clair ;-). En tout cas, cela s’est fini chez moi le soir-même. Et une histoire sérieuse d’un an et demi.

    Bref, tout cela pour dire que jouer au connard pour être un connard ne marche pas non plus. Cela grille complètement ses chances. Il faut être mordant. Le terme « je-m’en-foutiste » n’est pas si anecdotique que cela. De ne rien attendre de la personne en face: cela permet aussi d’être plus libéré dans la parole et dans les actes:

    Un ami me racontait ses premiers rdv avec sa copine (de longue date): il ne se privait pas pour arriver en retard, voire limite ne pas venir; voulant continuer la soirée avec ses potes. Cela m’avait tellement interpellé… Sa copine est une ravissante blonde loin d’être idiote, tout pour plaire en somme, mais elle était mordu comme pas possible.

    Je me souviens d’une fois, pour draguer une fille… j’en ai dragué une autre. Attention, pas une de ses copines, non, une autre, une inconnue. Bien entendu, j’avais titillé son attention au début de la soirée; puis après, devant mon aplomb et assurance avec l’autre fille, c’est elle qui est venue me faire de la petite dragouille bien plus tard sur Facebook puis dans la vraie vie. Anecdote amusante, le même soir, un autre mec lui tournait autour, lui, a fait l’inverse: très présent, toujours envie de discuter avec elle, petits mots gentils et sympathiques. Résultat: nada (et elle m’a avoué avoir voulu s’en débarrasser rapidement).

    Je pense que le détachement – de notre part – vous attache encore plus (houla, je fatigue moi, je sors de la phrase digne d’un Goncourt…)

    Si je devais faire une once de psycho (de comptoir ?), je pense que dès qu’un homme vous échappe, cela vous attire plus. (fuis-moi, etc…), vous recherchez une sorte de validation externe d’un homme référent (et non d’un homme qui est déjà « soumis » à votre cause).

    En fait, pour ainsi dire, je suis étonné qu’en 2011, des filles – comme vous – se posent encore la question, je pensais que c’était maintenant connu de tous.

    Autre point, j’ai vu une personne évoqué qu’ « entre 12-20 ans, les filles recherchent des connards ». Selon mes propres études (attention, je place mes lunettes de professeur sur le nez), c’est entre l’âge de la puberté (donc 12-13 ans effectivement), jusqu’à un peu près 25-26 ans, elles recherchent en grande majorité des connards. Puis entre 26 ans et la trentaine (~30-31-32?) c’est une nébuleuse comprise entre le connard et le gentil. Puis, après, le gentil est largement favorisé. Je pense qu’après un certain stade, les filles recherchent surtout un père pour leurs enfants, le connard étant relegué aux oubliettes (ou à plus tard…) (notez que ce principe se rétrécit dans certains contextes: hors des villes, ce passage s’effectue beaucoup plus tôt)

    Voila, c’était mes 2cents, désolé d’avoir été si long. On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a 🙂

    • Oh non au contraire ce commentaire est super intéressant car bourré d’anecdotes. Ca ne m’étonne pas du tout qu’une fille change du tout au tout quand on la snobe un peu. Nous détestons n’être pas regardées par quelqu’un qui nous plait. Et puis s’avoir qu’il nous « résiste » rajoute une part de challenge. Après c’est surement réciproque, ça doit être très énervant qu’une fille ne fasse pas attention à vous si elle vous plait.Le fameux « je drague une autre pour avoir celle qui me plaît », je l’ai déjà attendu..et d’après la personne en question ça marche effectivement très bien. Enfin pour les âges je suis d’accord avec toi.

  9. Hello. Premier commentaire pour ma part \o/
    Je suis on ne peut plus d’accord avec sa vision des choses. Je fais moi-même partie des mecs « gentils », qui se font tourner en bourrique.
    Dans mon histoire actuelle, plus « virtuelle » que réelle il faut le dire, lorsque je parle « calin, et serrage dans les bras » elle me parle « levrette et autre fellation ». Voulant que je sois un vrai mec, et pas un mec « sensible », une petite chose qui s’émouvoie de la savoir faible et malade.
    Sauf que l’idée du vrai mec, le macho, le brutal, « le foot le samedi soir avec de la bière et des potes », l’infidèle, ben cette vision du mec elle ne me plait pas. Mais visiblement elle lui plait.

    Ceci dit, pour la défense de toutes les femmes qui préfèrent les mecs « vrais » (donc méchants), « ma moitié virtuelle » est à peu près au direct opposé de l’archétype de la nana « gentille », avec laquelle j’ai vécu près de 4 ans et demi, avant d’en conclure que je m’étais fait chié de vivre avec une nana trop gentille, et qu’il fallait un peu plus de caractère dans mon couple.
    Aujourd’hui, je crois bien que je regrette un peu ces 4 années de tranquillité…

    bref. Clairement un mec « méchant » aura bien plus de chances qu’un mec gentil. Contrairement à toutes les annonces qui pululent sur adopteunmec, de nanas recherchant un mec gentil : j’ai envie de dire menteuse.
    Voilà j’arrête là, je voudrais pas te spammer pour mon premier comm…
    ++ et tiens nous au courant de la suite !

    • Oh j’ai le grand yemmip chez moi, je suis super honorée (je te connais par d’autres bloggeuse) Bienvenue!!
      Je n’aime pas l’image non plus du gros macho devant sa télévision..mais il en faut pour tous les goûts je suppose.
      Oui les nanas sur adopte sont des menteuses.. comme toutes celles qui sortent « je cherche le prince charmant » et qui ne bavent que sur des cons.
      Le méchant amène cette part d’interdit, de souffrance, de challenge que nous recherchons.. Il faudrait peut être qu’on arrête de regarder des séries débiles..

  10. Il y a du vrai malheureusement. Quand une superbe blonde aux yeux bleus est arrivée à la chorale universitaire où je chantais, je me suis dit: « Une autre fille de riches qui s’ennuie et cherche à s’amuser avec nous… », et j’ai regardé ailleurs. J’en avais marre que les super-nanas s’amusent avec moi, pour y finir dans les bras de porcs abrutis qui les maltraitaient.

    Moins d’un an après on était mari et femme, et on vient de fêter nos noces d’argent entourés de nos trois enfants. Inutile de dire qu’elle est heureuse et câlinée par un mari qui l’adore.

    Désolé, mais l’amour, c’est la jungle…

  11. On se demande parfois si la vie
    a un sens… et puis l’on
    rencontre des être qui donnent
    un sens à la vie.Un ami est celui
    qui vous laisse l’entière liberté
    d’être vous- même.Quand tu donnes tu perçois plus que tu ne
    donnes, car tu n’étais rien et tu
    deviens. Plusieurs personnes
    entrent et sortent de nos vies,
    seuls les vrais amis laissent une
    empreinte sur nos cœurs. Un ami est toujours un extra-
    terrestre qui nous permet de
    dévier de notre parcours
    quotidien à la découverte d’un
    ailleurs inaccessible. Être l’ami
    de quelqu’un signifie qu’on le comprend au-delà des
    apparences. Il nous rend justice
    en toute occasion. Il nous aide à
    aller, au risqude se perdre, où
    notre destin nous appelle. Il est
    des nœuds secrets, il est des sympathies Dont par le doux
    rapport les âmes assorties
    s’attachent l’une à l’autre et se
    laissent piquer. Par ces « je ne
    sais quoi » qu’on ne peut
    expliquer. Les amitiés les plus sincères sont souvent celles que
    l’on ne soupçonne pas. Heureux
    deux amis qui s’aiment assez
    pour (savoir) se taire ensemble.
    Pour tout ce que tu peux être :
    merci de me transmettre ton amitié et de m’offrir ta
    présence. Rire avec le bonheur
    que j’ai rêvé, c’est toujours
    possible, car j’ai la chance
    inestimable de te connaitre.

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